vendredi 28 décembre 2012

Le divorce est parfois la seule solution à des problèmes matrimoniaux



Quand deux personnes sont amoureuses, tout ce qui semble occuper leurs pensées est le désir de partager le reste de leur vie ensemble. Ce désir mène souvent au mariage et à la création d’une famille. On considère traditionnellement le mariage comme un lien indéfectible entre deux personnes qui s'engagent à rester ensemble « jusqu’à ce que la mort les sépare ».

Mais, en raison d’événements malheureux, divers et variés, de différences qui sur l’instant ont paru amusantes ou enrichissantes, mais qui sont, en fait, des différences trop importantes, quelques mariages ne durent pas « pour toujours ». Quelques contes de fées ne finissent pas en "ils vécurent heureux". Certaines situations, certains manques de réactions, certaines erreurs ont fait que le couple devient irréconciliable.

Plutôt qu'être éternellement malheureux ensemble, il faut parfois avoir suffisamment de lucidité pour  envisager la séparation ou le divorce comme une solution pour mettre fin à cette relation.

Hélas, un certain nombre de mariages finissent par le divorce parce que quand deux personnes se marient, ils le font sans vraiment réfléchir aux énormes responsabilités et aux importants défis auxquels ils seront confrontés une fois mariés. On ne se marie pas, pour faire comme tout le monde, pour payer moins d’impôt, pour le fun ou je ne sais quelle autre raison idiote. Le mariage est un engagement sérieux.

Evidemment, le divorce apporte lui aussi son lot de problèmes et génère de l'anxiété non seulement pour les conjoints, mais aussi pour les enfants. Ce processus effrayant (et parfois aux conséquences imprévisibles) signifie la destruction des fondations de toute la famille.
Il ne faut donc pas l’envisager à la légère mais être capable de l’utiliser si nécessaire.

Les crises matrimoniales à répétition sont des tragédies familiales et il vaut mieux y mettre fin une bonne fois pour toute, plutôt que de continuer ainsi. Laisser pourrir la situation risquerait de provoquer des troubles émotionnels graves chez les conjoints mais également chez les enfants, entraînant des années de thérapie pour regagner le respect de soi et la stabilité émotionnelle de chaque personne dans la famille. 

Les enfants sont les moins préparés pour faire face aux traumatismes émotionnels et psychologiques sérieux. La solution du divorce, même si elle n’est pas idéale, peut être choisie par des couples en crise pour empêcher leurs enfants de devenir "des dommages collatéraux" dans une situation où les parents se battent constamment.

Mais, une fois le divorce prononcé, les parents ne doivent pas devenir des ennemis enragés sous peine de provoquer de nouveaux dommages sur leurs enfants.


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jeudi 20 décembre 2012

Evitez la bagarre !




Les désaccords sont parfois fréquents dans les couples. Même s’il est sain que dans une relation les deux conjoints fassent valoir leurs opinions, et disent ce qu’ils ont à dire, il ne faut pas que cela tourne systématiquement à l’affrontement.

Non seulement cela risque, à la longue, d’éroder vos sentiments amoureux et votre relation, mais dans ce type de combat, les deux parties sont perdantes.

Le combat peut être destructeur. Il implique des émotions. Et, quand les émotions sont de la partie, les mots peuvent dépasser votre pensée. Vous pouvez dire des choses horribles, prononcer des mots destructeurs que vous n’aviez aucunement l'intention de prononcer. Malheureusement ce qui est dit, est dit et on ne peut jamais revenir en arrière.

Alors, autant que possible, évitez d'entrer dans des disputes. Si les choses s’enveniment, il vaut mieux arrêter là la discussion et la reprendre quand les deux parties sont apaisées. Mais, il faudra prendre la peine d’en rediscuter calmement car les non-dits n’apportent rien de bon. A la moindre étincelle, le combat reprendra. Il faut une bonne fois pour toute parler du problème tranquillement et chercher des solutions pour le résoudre.

Il y a peu de sujets sur lesquels Jérôme et moi soyons en complet désaccord. En fait, il n’y en a que deux : la famille et le rangement. Pour moi, sur le sujet de la famille, les voir moins souvent n’est pas grave, alors que pour Jérôme les voir au moins une fois par semaine est un minimum vital. Plus souvent c’est encore mieux ! De plus, pour lui ces visites doivent obligatoirement s’effectuer ensemble.

Pour ce qui est du rangement, moi si je range, c’est pour classer les choses afin de mieux les retrouver sinon je préfère les laisser où elles sont. De plus, j’aime bien être entourée d’une foule de choses et j’ai la manie du « on ne sait jamais, ça peut toujours servir ». Alors que Jérôme a une vision plus minimaliste des choses. Pour lui le rangement sert à faire disparaître les choses du regard et optimiser la place. Il préfère un intérieur avec le moins d’objets et de meubles possible, et rien qui traîne.

Notre solution à ces problèmes :

 - pour sa famille, c’est une visite par semaine mais la journée entière plus quelques événements exceptionnels. Et pour la mienne, je fais comme je veux.
- pour le rangement, je range moi-même certaines choses que je veux retrouver facilement et m’occupe moi-même de mon bureau fourre-tout, très encombré et il s’occupe du reste. Et lorsque qu’il a décidé de ranger une pièce en particulier, je le laisse faire et ne revient qu’une fois que tout est terminé. En général, j’apprécie le résultat et si je veux ré-encombrer un tout petit peu l’endroit, avec des choses qui me paraissent importantes d’avoir sous la main, nous pouvons alors en discuter calmement et non pas « à chaud », ce qui nous permet de trouver plus facilement un compromis.

Ainsi, pas la peine de revenir constamment sur ces sujets et cela évite les disputes inutiles.

Ne cherchez pas non plus la bagarre pour un rien, ne passez pas votre temps à faire des reproches à votre conjoint.

N’oubliez pas que l’on récolte ce que l’on sème ! Traitez votre conjoint comme vous aimeriez qu’il vous traite, et soyez prudent avec les mots que vous utilisez. Si vous dites régulièrement des paroles gentilles, douces et aimables à votre conjoint, il y a de grandes chances pour qu’il fasse de même.

Ainsi, en cas de tensions importantes, voire de disputes, vous serez moins enclin à insulter l’autre puisque vous n’en n’avez pas l’habitude. Surveiller son langage sera naturel pour chacun et ces rares altercations n’entraîneront pas de conséquences fâcheuses.


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lundi 17 décembre 2012

Je dis OUI au mariage pour tous


Je pense que le mariage est une très belle chose. Je n’aurais jamais imaginé ne pas me marier avec Jérôme. Je pense que c’est la plus belle preuve d’amour que l’on puisse faire à la personne que l’on aime. Quand je présente Jérôme à quelqu’un, j’éprouve une grande fierté à dire : « Je vous présente Jérôme, mon mari ». Après autant d’années de mariage, cela me fait toujours un petit quelque chose et bien souvent, je me dis que j’ai de la chance d’avoir épousé un mari comme lui.

C’est pour cette raison que j’aimerai que tout le monde puisse ressentir le bonheur immense d’être marié, peu importe le sexe des conjoints. Pour moi, c’est une façon de reconnaître un couple, de célébrer ou même d’officialiser l’Amour entre eux.

Dans un pays où la devise est « Liberté-Egalité-Fraternité », on doit permettre à chaque être humain (quelle que soit son orientation sexuelle) de se marier. Le choix de se marier ou non est un DROIT, c’est une question d’égalité entre les couples.

Avec ce projet de « Mariage pour tous », tous les couples, toutes les familles de France, sans discrimination, seront reconnus et protégés par la loi.

Le texte de loi, une fois adopté, car je ne peux imaginer qu’il ne le soit pas, permettra :

-         à deux personnes de même sexe, résidant en France de se marier civilement,
-         de reconnaître les mariages entre deux personnes de même sexe célébrer à l’étranger,
-         d’ouvrir l’adoption aux personnes de même sexe mariés.

Pour le moment, le problème de la PMA (procréation médicalement assistée) est en discussion.

Contrairement à ce qu’on entend ici ou là, les mots « père et mère » ne disparaitront pas au profit de parent A ou parent B. Mais, si ces personnes avaient pris le temps de lire le texte, elles auraient lu que : lorsque cela est strictement nécessaire les mots "père et mère" sont remplacés par le mot "parent" et les mots "mari et femme" par le mot "époux" dans les différents codes. (source http://www.vie-publique.fr/actualite/panorama/texte-discussion/projet-loi-ouvrant-mariage-aux-couples-personnes-meme-sexe.html ).

Ce qui est frappant également, c’est de voir que de nombreux arguments contre le mariage ressemblent, à si méprendre, à des arguments employés dans les années 60 contre les droits des Noirs aux Etats-Unis.

Empêcher les homosexuels de se marier, c’est un peu les considérer comme des sous-personnes, à qui l’on refuse certains droits.

Contrairement à ce  que disent certains, cela n’entrainera pas l’effondrement  moral de la société française, ni l’ouverture à la polygamie, comme on l’entend parfois.

Si  cela était le cas, les 12 pays du Monde, dont 7 pays européens (très catholiques pour certains), auraient sombré dans l’anarchie, la dépravation ou la déchéance. D’après ce que l’on en sait, des pays comme l’Italie, l’Espagne ou la Belgique ne paraissent pas avoir sombré dans le chaos suite à la légalisation du mariage homosexuel.

De la même façon, je ne comprends non plus l’argument des opposants au mariage pour tous à propos des enfants que des couples homosexuels pourraient adopter légalement. Pour moi, l’essentiel pour qu’un enfant soit heureux, c’est que ses parents s’aiment et le chérissent. Après, qu’il soit élevé par 2 papas, 2 mamans ou 1 papa et une maman, je ne vois pas ce que cela change.

Lilian Thuram s'exprime sur ces sujets sur RTL :


Lilian Thuram : "Peu importe votre orientation... par rtl-fr

Le mariage est un engagement entre deux personnes qui s’aiment. Se marier, c’est croire en un avenir commun. C’est un acte officiel rempli de solennité et d’Amour.

Pourquoi donc certaines personnes, seraient exclues de ce processus ?

Quel délit ont-elles commises pour mériter cette punition entraînant une déchéance d’un droit civil ? Aucun !

Il est temps de réparer cette injustice.



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jeudi 13 décembre 2012

Quand le travail passe avant le mariage….




Il est normal de s’investir dans son travail et de faire des sacrifices pour sa carrière. Mais, attention à ce que cela ne vienne pas détruire le mariage.

Chacun des partenaires a le droit de consacrer du temps et des efforts à son travail, surtout si celui-ci génère un bon revenu. Mais, si cela implique de nombreux voyages et déplacements, des soirées entières consacrées à l’étude de dossiers, un stress important, est-ce que cela ne va pas être au dépend du mariage ?

Est-ce qu’il n’est pas plus important pour votre couple, de passer du temps ensemble régulièrement, plutôt que de n’être ensemble que pendant 5 jours de vacances par an, même sur une île paradisiaque ?

Travailler de longues heures, voyager constamment, mener des vies séparées à cause du travail, est un réel problème pour le couple. Les relations deviennent de plus en plus distendues. A force d’être séparé, chacun s’habitue à vivre sans l’autre et l’amour s’étiole.
Comme le dit l’adage, « Loin des yeux, loin du cœur ».

Pour preuve, il suffit de regarder les gens qui consacrent toutes leurs forces dans leur travail et de voir ensuite combien d'entre eux sont toujours mariés.

S’il y a des enfants dans le couple, alors c’est encore pire. L’un des deux doit souvent sacrifier une partie de son travail pour s’en occuper et voit donc sa carrière stagner ou même régresser. Si l’autre partenaire, pendant ce temps, néglige les enfants, cela entraîne des disputes, des jalousies au sein du couple et cela rejaillit sur les enfants. De plus, le partenaire négligeant ne voit pas ses enfants grandir, n’a pas créé de liens affectifs forts avec eux et ne sera jamais proche d’eux.


Alors comment concilier ambition professionnelle et famille ?

Il faut prendre du recul, prendre le temps d’analyser la situation, discuter ensemble et chacun doit peser le pour et le contre.

En fonction du type de travail, de salaire et de l’implication qu’il demande, certaines mesures seront facilement réalisables et d’autres demanderont de faire des choix parfois difficiles.

En fonction du travail, il peut être envisageable de :

-         ne pas ramener de travail à la maison
-         éteindre son portable en quittant le boulot
-         rentrer chez soi à heure fixe
-         laisser les soucis du travail, au travail et être présent à 100 %, une fois rentré
-         remplacer des soirées-télé par des soirées où les activités se font vraiment ensemble
-         fixer un nombre d’heures par semaine ou de jours par mois, réservés exclusivement à la famille
-         remplacer des déplacements longs par des visio-conférences
-         regrouper systématiquement plusieurs rendez-vous lors d’un déplacement
-         en voyage, prendre le temps de téléphoner chaque jour à son conjoint et ses enfants
-         voir si une partie des heures de travail ne peuvent pas être effectuées depuis votre domicile
-         appliquer les méthodes pour être plus efficaces, plus performants et plus productifs pour gagner du temps
-         etc.

Ce ne sont que quelques exemples, à vous de trouver vos propres solutions.

Dans certaines situations plus complexes, il faudra peut-être même envisager de travailler à mi-temps, ou de changer de travail ou de totalement changer de vie. A vous de voir si votre couple et votre famille, méritent ces « sacrifices »….


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lundi 10 décembre 2012

L’infertilité, source de stress dans le mariage




En 2003, selon plusieurs études de l'Institut de veille sanitaire (InVS) :

  • près d'un couple sur deux (46%) n'attendait pas d'enfant, six mois après l’arrêt de contraception
  • près d'un quart des couples (24%) n'était pas parvenu à faire un enfant 12 mois après
  • et 11% deux ans après.        


Selon l’Observatoire Epidémiologique de la Fertilité en France, le pourcentage de couples sans grossesse après 1 an sans contraception est actuellement de l’ordre de 15 à 25% (source http://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=7940)

De nombreux couples rencontrent ce problème d’infertilité et cela peut détruire un couple, même très amoureux.

Un sentiment de frustration de ne pas avoir d’enfant commence à peser fortement sur les relations dans le couple. Pour ces couples, le mariage est un tremplin vers la création d’une famille, vers la  naissance d’un ou plusieurs enfants.
En général, la femme se sent coupable, déprime et commence à s’éloigner de son conjoint. Elle a peur d’être incapable de concevoir et se sent diminuée dans sa féminité.

Les deux conjoints commencent  à regarder les enfants de leurs amis avec envie. Les réunions de famille deviennent une source supplémentaire de stress par la vue des enfants des autres et par les remarques blessantes ou questions insidieuses des membres de la famille du style : « ben alors, vous n’en avez pas encore mis un en route ? », « Alors, Hector, tu veux que je te donne un coup de main ? Il faut que je t’explique comment faire ? », etc.

Le mari sent bien que sa virilité est remise en cause et l’épouse ressent un sentiment d’inutilité. Le couple a l’impression de ne pas être normal, d’être sorti de la norme, d’être rejeté.

Les tensions dans le couple deviennent de plus en plus fréquentes et les moments d’intimité de plus en plus rares.

Faire l’amour devient source de stress, puis un devoir. Il ne s’agit plus de se donner du plaisir quand on en a envie, mais d’accomplir l’acte sexuel, à des dates optimales, en vue de la conception d’un enfant. Ces moments, qui devraient être remplis d’amour, de tendresse et de complicité, sont gâchés par les contraintes de la procréation.

Ces conditions sont encore moins propices à la réussite de cette conception, les échecs sont nombreux et de plus en plus douloureux, ce qui engendre encore plus de stress.

Dans ces conditions, si une solution rapide n’est pas trouvée, c’est la mort du couple assurée, à plus ou moins brève échéance.

Pourtant, des solutions naturelles existent, qui dans de très nombreux cas (89 %), sont à même de résoudre le problème.
Bien sûr, on peut avoir recours à la FIV ou l’IIU , mais ces techniques comportent de nombreux effets secondaires et malheureusement les taux de réussites sont bas.

Alors que traiter le problème de manière holistique, c'est-à-dire en traitant le corps mais  également l’esprit, apporte de bons résultats.

Cette méthode permet de tomber enceinte, tout en retrouvant du plaisir, du calme et de la sérénité, de l’enthousiasme, et d’avoir une vie sexuelle épanouie.

Pour tout connaître sur cette méthode, cliquez ici 


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mardi 4 décembre 2012

C’est aux 2 partenaires à faire des efforts




Parfois le mariage ne fonctionne pas aussi bien qu’on le souhaiterait ou qu’on l’espérait. Des disputes, des différents, des incompréhensions se créent au fil des jours. Si cela vous arrive, évitez surtout de rejeter systématiquement la faute sur votre partenaire.

Je sais, c’est facile et surtout c’est bien pratique. C’est votre conjoint qui se comporte mal ou qui a plein de défauts. Vous, vous êtes un être parfait qui fait tout pour que votre couple fonctionne le mieux possible. Vous n’avez aucun défaut et vous êtes l’être le plus gentil qui puisse exister !

C’est bon ? Vous avez fini de vous jeter des fleurs.

En tout cas, ce n’est pas en agissant de cette façon que vous allez améliorer votre mariage. Votre premier réflexe doit être d’analyser objectivement la situation et de prendre du recul.

Au lieu de réagir au quart de tour et de tout mettre sur le dos de votre partenaire, prenez le temps de réfléchir afin de repérer d’où vient le problème. Effectuez une analyse en profondeur des causes de vos disputes ou de vos différents.

Cela me fait penser à une mésaventure qui m’est arrivée dernièrement.

Je m’étais rendu compte que le pot d’échappement de ma voiture faisait du bruit.

En regardant vaguement en dessous, j’ai vu un petit trou vers le bout du tuyau. Le week-end, j’ai expliqué mon problème à Jérôme. Il m’a donnée de la pâte pour reboucher le trou et, comme c’était facile d’accès, je l’ai fait moi-même.

Ni lui ni moi, n’avons pensé à vérifier que le problème venait bien de là. Résultat, trois jours plus tard, la partie centrale du pot s’est détachée alors que j’étais sur la route. En fait, cette partie était très rouillée et a fini par casser. Heureusement, il y avait peu de monde sur cette route, sinon j’aurais pu provoquer un accident. J’ai été quitte pour annuler mon rendez-vous et me rendre immédiatement au garage.

Si nous avions réellement pris la peine de regarder d’où venait la cause, nous n’aurions pas eu cette situation.

Dans le couple, c’est pareil. Mais, les conséquences peuvent être plus graves. Il vaut donc mieux prendre le temps de chercher réellement la cause du problème.

Posez-vous avec votre partenaire. Eteignez la télé, l’ordinateur ou la radio et parlez-vous.

Il se peut que le malaise que vit votre couple soit du à votre partenaire. Discutez-en avec lui pour savoir pourquoi il se comporte ainsi.

Si le dialogue est réellement ouvert entre vous, il vous répondra. Il est possible qu’il ait des problèmes au travail ou qu’il soit un peu fatigué en ce moment.

Il peut également arriver que sa conduite soit la conséquence de votre propre comportement.
Vous pouvez être plus énervé en ce moment, plus stressé ou moins attentionné.

Ce n’est pas grave. Des tensions peuvent exister au sein du couple. Elles se régleront facilement à partir du moment où vous en avez trouvé la cause.

Si vous n’aviez pas pris la peine de discuter et d’analyser votre problème, la situation n’aurez fait qu’empirer. C’est ensemble que vous avez trouvé la solution. Et, bien sûr, c’est ensemble que vous allez régler le problème.

Chacun de vous y mettra du sien. Chacun fera des efforts et s’adaptera

Si vous voulez que votre mariage dure, chacun de vous doit comprendre qu’il est responsable de la bonne marche du couple. Chacun doit agir en conséquence pour que le couple fonctionne et ne pas tout attendre de l’autre.

L’amour est comme une plante qui a besoin de soin journalier. Si on ne s’en occupe plus, comme la plante, il dépérit.


(clipart Microsoft office)